Évaluer et localiser les fragilités potentielles



La définition de la « zone pavillonnaire » retenue dans l’étude est celle de quartiers « contenant une majorité de logements individuels » avec une certaine concentration d’habitat, afin de les différencier des habitats épars liés aux activités agricoles, et comportant « principalement des maisons construites après 1950 », pour les distinguer des faubourgs ou bourgs historiques, qui relèvent d’autres problématiques, et pour correspondre à la notion de périurbanisation et au phénomène de développement de grandes zones pavillonnaires par « lotissements », qui émergent essentiellement après-guerre.

Les zones pavillonnaires périurbaines ont été mesurées et cartographiées, en évaluant la présence d’éléments de fragilités potentielles liées aux divers sujets d’inquiétude évoqués plus haut, au travers de différents indicateurs construits sur la base de données publiques (données carroyées INSEE, données immobilières, données géographiques IGN).

Des seuils ont été définis (voir détails techniques), pour identifier cartographiquement les quartiers pavillonnaires « les plus fragiles » sur cette série d’indicateurs, en se basant notamment sur le « quartile le plus défavorable » à l’instar de mesures utilisées pour définir un seuil de pauvreté.

Cette cartographie détaillée d’étude peut être consultée sur demande auprès de la DREAL Normandie.

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Pour poursuivre, découvrez comment Faire évoluer les zones pavillonnaires existantes

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